Riposte aux occupations et aux saccage de la Sorbonne et du Quartier Latin
S'il y a désordre dans les facs c'est qu'il ya désordre au sommet de l'Etat et dans les institutions...
Les étudiants d'Action Française se sont joints à ceux qui mardi 14 mars étaient venus protester contre l'occupation et le saccage de la Sorbonne. Non qu'ils soutiennent les mesurettes antisociales d'un gouvernement déjà usé, mais parce que l'extrême gauche, une fois encore, a pris pretexte du énième contrat précaire embauche pour manipuler les revendications étudiantes. Profitant de l'inorganisation de la société en générale, et particulièrement de l'atomisation des universités, laissées à l'abandon par l'Etat qui les administre abusivement, les caporaux de la gauche extrême ont répondu présents à l'appel de la gauche gestionnaire pour reprendre en main et détourner l'impatience des étudiants.
Là où des consultations ont été organisées par les autorités universitaires, afin de connaître le sentiment réel de l'ensemble des étudiants, les salles de votes, pour un scrutin organique et corporatif, selon nos voeux, sont bloquées "démocratiquement" par les factieux de la gauche décompo.
Pendant l'occupation, la Sorbonne, patrimoine national remontant aux heures brillantes du Moyen-Âge, où Paris était une nouvelle Athène, a été le théâtre d'un vandalisme généralisé... Des tableaux du XVII S° ont été attaqués au cutter, des bibliothèques entières de livres vieux de deux siècles sont parties en fumée, alimentant les brasiers allumés au milieu des cours d'honneurs, en des autodafés typiquement totalitaires...
Nous avons appris qu'ils avaient également détruit l'ensemble du matériel informatique, cela ne nous chaud point... Mais pour chaque livre brûlé, dix incendiaires paieront...
Le plus grave est peut-être qu'il ne se soit trouvé personne pour s'opposer à cette abomination , fille de la "démocratisation" de l'éducation et de la barbarie post-moderne de marché.
Mardi soir, la jeunesse française et européenne se rassemble sur le boulevard Saint-Michel, avant de remonter vers la Sorbonne pour faire entendre sa voix... les marginaux, teuffeurs, trostko-nazis et anarchoflics commencent dans un bel ensemble leurs déferlement de violence et de haine, jettant des bouteilles de verre et des pierres... Cagoulés, casqués, armés de triques dont ils se sont servit toute l'après-midi contre la police de Sarkozy, chanvrés à bloc, ils hurlent, vocifèrent, mais sans monter à l'assaut... ils préfèrent attendre le renfort de leurs camaradess dont nous venons de les couper... Après des échanges répétés nettement à l'avantage des 120 jeunes venus reprendre la rue à la racaille rouge, les Crs décidèrent de nous faire reculer en employant du gaz irritant. Après la jonction des deux attroupements des suppots du Parti socialiste, protégés par des lignes de gendarmes mobiles qui nous font face, une pluie de pavés s'abbat alentours... blessant une étudiante, membre d'un syndicat étudiant, apolitique et autonome... Une charge homérique à 1 contre 15 ou 20 voire 30, à mains nues, met la panique dans les rangs adverses, dont nombre de fuyards se volatilisent pour ne pas revenir... une dispersion en bon ordre et dans le calme de nos collatéraux s'ensuit... aucune autre blessure grave n'est à déplorer... à la prochaine?...
La presse dans son ensemble a parlé d'une action violente de "l'extrême droite"... Sans compter que nous ne sommes pas des extrémistes, nous ne sommes pas de droite... ni de gauche... On reconnait bien là, comme le disait Philippe Muray, la tendance générale de l'oligarchie marchande et spectaculaire à rejetter dans cette impasse politique et sociale toute vraie dissidence avec le discours dominant. Certains "journalistes" vont jusqu'à annoncer les rendez-vous en vue des occupations illégales et illégitimes sous couvert "d'informer" des "actions à venir"... D'autres sous-entendent que les blessures infligées aux forces de l'ordre étatique et marchand seraient dûes à notre riposte aux violence des milices gauchistes, alors que ce sont elles et elles seules qui en sont coupables... non que nous refusions à priori d'user d'une force restreinte pour mener à bien nos opérations, destinées le plus souvent à frapper le s pouvoirs, défendus par une maréchaussée mercenaire... non... mais lorsque nous le faisons nous ne rejettons pas la responsabilité de nos choix politiques sur nos adversaires... Pour la démocrassouille médiatique, le vrai est devenu un moment du faux...
1 Comments:
Bravo à l'AFE, présente dans les idées et sur le terrain !
La jeunesse est royaliste !
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